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Une des 17 maladies tropicales négligées, l'ulcère de Buruli est un réel problème de santé publique en Afrique centrale et de l'Ouest. La maladie reste un mythe car l'on ne connaît pas le mode de transmission exacte du pathogène Mycobacterium ulcerans à l'homme. Fortement soupçonnés de jouer un rôle d'hôtes ou de vecteur, certains taxons de punaises aquatiques semblent être prédisposés de par leur écologie ou leur comportement à héberger le bacille voire à le transmettre. Au-delà de proposer une classification des punaises aquatiques du Cameroun reposant sur des séquences nucléotidiques, nous discutons du rôle important joué par l'écologie de certaines espèces de punaises dans la transmission de M. ulcerans. Les différentes approches développées ici étayent l'hypothèse que certains taxons de punaises aquatiques, (Belostomatidae et Naucoridae), acquièrent la mycobactérie à partir de l'environnement en fréquentant des habitats (végétation aquatique émergée) où le bacille prolifère, et en se nourrissant de proies, comme des mollusques ou de petits poissons, eux-mêmes contaminés par la bactérie. La capacité de vol semble disséminer le bacille en contaminant de nouveaux environnements.