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Qué queda de la noche transcurre en el París de 1897 y narra tres días de la vida de Cavafis, antes de convertirse en el gran poeta que conocemos. Esos días en la capital francesa nos muestran a un Cavafis sumido en una crisis existencial y se revelarán como un punto de inflexión, pues el poeta deberá elegir si seguir la difícil y solitaria senda de la creación y vencer las limitaciones personales, la incertidumbre ante un estilo que aún busca afirmarse, unido al tormento de ser homosexual y saberse y saberse incomprendido y al tiránico afecto de una madre que impide que pueda desarrollar y vivir su vida plenamente. Así las cosas, si quiere salvar la poesía que siente venir, se impone una decisión tan difícil como taxativa: cortar lazos con todo aquello que constriñe, limita, paraliza.