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Esta obra aborda dos importante personalidades de la historia negra en la Venezuela colonial. El rey Miguel, esclavo minero, rompió en 1553 las cadenas de una abrumadora servidumbre para fundar un efímero reino cimarrón. El personaje, evocado de modo caballeresco por Juan de Castellanos, según los criterios imperantes, generó una descendencia literaria acorde con los esquemas esclavistas. Los cronistas fueron desautorizando el grito de libertad del rey Miguel para hacer de él un demonio destructor de la civilización y luego, un ser burlesco. Desde hace algunos decenios, en Venezuela se está deconstruyendo este personaje para reconstruirlo luego en la ficción, las artes y las ciencias humanas, reconstrucción con una dimensión ideológica muy marcada. El capitán Manuel Pereyra escogió, entre 1671 y 1686, un camino muy diferente para reivindicar la dignidad del hombre negro. De un modo obsesivo, hizo cuanto pudo para no ser tratado como escoria en la sociedad colonial. Bien podría tomarse esta neurosis como la marca de una profunda alienación mental, si no se hubiera afanado el capitán en defender a sus congéneres frente a la oligarquía criolla. Esta no pudo librarse de él como lo hizo en el siglo pasado con Miguel. Su gran inteligencia no dejaba de valerse de la legalidad y de las altas protecciones que supo granjearse. Pero se las arregló para desacreditarle, un poco como lo hicieron los cronistas en sus interpretaciones literarias a propósito del rey Miguel. Desgraciadamente todavía no ha llegado el momento de su rehabilitación.