Qu'est-ce que le théâtre peut encore nous apprendre sur Donatien de Sade ? Ceci, je crois : que ce bourreau imaginaire, victime de tous les obscurantismes, a purgé nos coeurs de la honte qui les opprimait.
De son vivant, l'auteur des Crimes de l'amour fut mal payé de sa passion pour le théâtre. C'est que personne ne se doutait alors que ce turbulent matamore était, peut-être à son corps défendant, le porte-parole de l'« Autre Scène »...