Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
»Die Frau, die in der Wüste ertrank« - unter diesem Titel porträtierte Katja Iken vor zwei Jahren in 'Spiegel Geschichte' Isabelle Eberhardt: »Die junge Schweizerin pfiff auf alle Regeln, sie soff, kiffte und liebte, wen sie wollte. Isabelle Eberhardt zog um 1900 als Mann verkleidet durch Nordafrika und lebte unter Beduinen - bis ihre Reise tragisch endete. [...] Rund 1200 Seiten, verfasst auf Französisch, Russisch und Arabisch: Briefe, Reportagen, Tagebucheinträge, getrieben von einer unbändigen Rastlosigkeit: 'Nomadin war ich schon als Kind', bekannte Eberhardt. 'Nomadin werde ich mein ganzes Leben lang bleiben, verliebt in wechselhafte Horizonte, in noch unerforschte Fernen.' [...] Europa war für sie die 'schmutzige, bösartige, dummdreiste Zivilisation'. Eberhardt schor sich das Haar und streifte, maskiert als Student, durch die Gassen der Küstenstadt Bône (heute Annaba). Hatte sie als junges Mädchen Briefe oft mit dem Pseudonym 'Nicolas Podolinsky' signiert, schlüpfte Eberhardt im Maghreb in eine neue Identität und nannte sich fortan 'Si Mahmoud (Saadi)' oder 'Mahmoud Es-Saadi' - was im Deutschen etwa 'Dank an das Glück' bedeutet'. [...] Bei ihren Streifzügen durch die Wüste übte sie sich in Askese und Verzicht, doch in den bewohnten Zentren gab sie sich dem prallen Leben hin. Stundenlang lag sie vor den Cafés und Bars auf einer Matte, trank Absinth und rauchte Haschisch, verkehrte mit Prostituierten, Soldaten, Matrosen, Fremdenlegionären.«