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La peinture a toujours été considérée comme l’inscription d’un “imaginaire” où l’improbabilité d’une articulation interne (la structure) renvoie paradoxalement son texte à des traductions (littéraires, esthétiques) ou à des interprétations (histoire et/ou critique d’art). C’est qu’en effet l’analyse picturale 1/ a sans cesse pris pour objet les constituants formels du tableau, c’est-à-dire une “ratio” de l’image qui n’en consacre que l’altérité (peinture/langage) ; altérité qui n’est essentiellement saisie que comme un déportement de notre lieu élocutoire. 2/ D’autre part elle n’a pu s’articuler que sur un circuit interprétatif supposant l’universalité des termes symboliques : chez Panofsky, par exemple, l’interprétation n’opère jamais que leur connexion. Par le déplacement critique de ces points de vue, l’analyse construit ici, comme probabilité structurale du tableau, la matrice à partir de laquelle tout texte (corpus) non construit sur cet espace s’y réintroduit pour le constituer : lecture et construction du tableau comme système de ses zones d’implicitation ; découverte aussi des conditions structurales d’une “pensée figurative”. L’espace propre à cette pensée étant constitué par une implicitation de codes (rhétorique, numéral, géométrique, logique...) — dont la perspective s’est proposée comme la transcription symbolique (au sens analytique) et immédiatement idéologique : c’est donc un travail de désimplicitation de l’image qui articule cette analyse. La sortie en est donc double : réflexion sur le statut de l’image, mais théorie du texte représentatif — définition “structurale” d’une époque du tableau, de ce dont le tableau est aussi “épochè”, retenue, suspension : de la “parenthèse” représentative. Le “titre” de ces opérations est “une partie d’échecs”, tableau de Paris Bordone, peintre vénitien, élève du Titien.