« Seulement la vie, tu sais » réunit dans un paysage urbain mouvements et trajectoires, sensations et dérive amoureuse. Un tram et un train se croisent. Des tricotages ont lieu. Il y a des échangeurs et des aiguillages, des horaires, des attentes sur un quai. La ville devient un corps, traversée de part en part de tumultes et de vibrations fragiles. »