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Viktor Frankl fue víctima, como tantos otros, de la barbarie nazi, de un trato cruel y del intento de ser reducido a un número. Como muchos, resistió, y Terezín, Auschwitz, Türkheim, Kauferin y Dachau fueron las estaciones de un viaje intenso hacia sí mismo, hacia el descubrimiento de su propia resistencia espiritual. Frankl escribió esta obra de teatro poco tiempo después de haber dejado atrás su experiencia como prisionero en los campos de exterminio. Su título encierra un debate metafísico sobre el sentido del sufrimiento, que toma como punto de partida una escena en una barraca del campo de concentración Birkenwald, nombre de ficción resultado de la combinación de los nombres Buchenwald y Birkenau. En alemán, Birkenwald significa bosque de abedules, árboles cuya capacidad de generar vida en lo devastado les permite arraigarse y colonizar con nueva vida el terreno. La obra pone en escena, de modo creativo y original, diálogos humanos que manifiestan vivencias universales con las que no podemos dejar de sentirnos identificados.