Pour la première fois, un médecin et
un philosophe naturaliste confrontent
leurs expériences.
L'homme a un corps et tombe malade.
La Terre est un immense organisme,
elle ne va pas bien. La planète et ses
habitants vivent un destin commun. Ils
peuvent être soignés en utilisant des
méthodes qui s'apparentent. Le diagnostic
n'est pas simple. Il faut prescrire
les bons remèdes avec, pour principe : «D'abord, ne pas nuire !»
Dans ce fructueux dialogue, le médecin de l'homme et celui
de la Terre s'interpellent, se répondent, soulignent les analogies,
mais aussi les différences, entre leurs disciplines.
Ils tentent de montrer qu'on ne doit pas perdre espoir ; qu'on
peut toujours peindre un sourire sur la face du malheur.