Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Au lieu de statuettes du Sacré-Coeur, ce sont des icônes du camarade Staline ou du roublard tovaritch Khrouchtchev que les habitants de ce village de la Beauce auraient dû adopter pour représenter leurs dieux tutélaires. C’est à eux en effet qu’ils devaient leur exceptionnelle prospérité. À eux et au radar qu’on avait construit au sommet de la montagne pour voir venir les missiles atomiques que les Russes auraient pu avoir la fantaisie d’envoyer sur la tête de nos voisins américains.C’était l’époque bénie où les choses étaient claires, il y avait le ciel et l’enfer, les bleus et les rouges, les gars de Sainte-Marie et ceux de Saint-Elzéar.L’été venu, toutefois, les jeunes – et parfois les moins jeunes – prenaient le chemin de l’Ontario pour « faire le tabac » et, du même coup, quelques dollars. Et quel meilleur compagnon de voyage que Tom Higgins dont la soif d’aventures est dangereusement communicative ? Dans ce premier roman, dont la fraîcheur n’a d’égale que l’irrésistible drôlerie, Pierre Breton a des allures de Mark Twain beauceron. Mais si vous disiez à Tom Higgins qu’il est le digne héritier d’Huckleberry Finn, il vous enverrait au diable.