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Liebe Leserinnen und Leser! Wer Charles Johnson war, weiß keiner so recht. Sicher ist aber: Er verfasste 1724 ein Buch, das in kurzer Zeit zum Bestseller wurde und noch heute das typische Bild des Piraten prägt. »A General History of the Pyrates« heißt das Werk im Original. Wie viel darin Seemannsgarn ist und was sich tatsächlich ereignet hat, ist nicht ganz klar. Historiker und Archäologen werten daher weitere Quellen aus, um das Dasein der Seeräuber im »Goldenen Zeitalter« zu rekonstruieren. In dieser Phase des frühen 18. Jahrhunderts versuchten zahlreiche Männer und auch Frauen, sich mit dem Kapern von Schiffen ihren Lebensunterhalt zu verdienen. Das brachte nicht nur einen guten Verdienst ein. Auf den Piratenschiffen herrschten offenbar auch egalitäre Verhältnisse, ja geradezu demokratisch sei es zugegangen, schildert unser Autor Sebastian Hollstein ab S. 12 in unserer Titelgeschichte. Über Seeleute berichtet auch der Ägyptologe Joachim Willeitner (S. 36). Anders als die Piraten der Neuzeit standen diese Männer im Dienst des Königs – und verschifften das Baumaterial für dessen Grabmal. Die Rede ist von Cheops, dem Erbauer der Großen Pyramide von Giseh. Und wie seine Arbeiter Steinblöcke nach Giseh schafften, lässt der erstaunliche Fund rund 4600 Jahre alter Papyri von einem Hafenplatz am Roten Meer erahnen. Eine aufschlussreiche Lektüre wünscht Ihnen Karin Schlott, Redaktion Spektrum der Wissenschaft