Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Jedes Kapitel dieses Buches entfaltet anhand eines Stückes Literatur ein Thema aus dem Liebesleben. Für die Psychoanalytikerin Jutta Prasse sind Henry James, Gottfried Keller, Johann Peter Hebel oder Charles Dickens Bundesgenossen bei der Erforschung des weiblichen und männlichen Begehrens, des Mutterideals, der Sexualität des Wissenschaftlers ...Sie orientiert sich an Freud und Lacan und kommt doch ohne Fachsprache, ohne Jargon aus. Da sie den Freudschen Witz liebt, verbindet sie Seriosität und Komik, auch, wenn sie Tragisches und Rührendes behandelt.Der Leser kann sich bildend vergnügen, denn dieses Buch, dessen Autorin - unter Pseudonym - zugleich Übersetzerin literarischer Werke war, ist sehr gut zu lesen. Und es ist sehr persönlich geschrieben.Der Titel »Sprache und Fremdsprache« bezieht sich auf die Fremdheit unserer eigenen Sprache; sie ist uns nicht angeboren, doch nur durch sie können wir leben, begehren, lieben, träumen und begreifen.