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Paul Pelckmans traceert de groei van onze moderne omgang met de dood en de taboes errond.
Ook de dood is veranderlijk. Of toch de manier waarop we ermee omgaan. De Verlichting zorgde voor zo'n kantelpunt in ons denken over dood, afscheid en hiernamaals. Het taboe rond de dood, dat vandaag zo vanzelfsprekend lijkt, bestond tot dan simpelweg niet.
Vóór de Verlichting was de zorg om het hiernamaals de evidente prioriteit: de overledene moest in het (juiste) hiernamaals terechtkomen. Met het verlichtingsdenken verschuift de focus naar het afscheid. Eerdere generaties gingen daar nogal fatalistisch mee om, maar sinds de achttiende eeuw lijkt het vaak bijna onoverkomelijk. Verlichtingsdenkers die de pijn proberen te verdringen, komen zo dichter en dichter bij ons moderne doodstaboe.
Paul Pelckmans traceert de groei van onze moderne omgang met de dood en de taboes errond via een aantal achttiende-eeuwse briefromans. Jean-Jacques Rousseau, bijvoorbeeld, laat een van zijn bestsellers, La Nouvelle Héloïse, eindigen met een indrukwekkende sterfbedscène die vóór de Verlichting ondenkbaar zou zijn geweest. Hij zette zo de toon voor tientallen andere romanciers als Laclos, Sade of Belle van Zuylen die samen, in één of twee generaties, een nieuwe way of dying uittekenden.