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Die Diskussion tiber Bankstellendichte, Bankstellenrentabilitat und Bank- stellenpolitik der einzelnen Institutsgruppen ist seit dem Fortfall der so- genannten Bedtirfnisprtifung der ErOffnung neuer Stellen durch die Bank deutscher Lander (his 1958) nicht abgebrochen. 1m allgemeinen werden fUr die Bundesrepublik Deutschland (Westdeutschland) drei Phasen in der Bankstellenpolitik, insbesondere der Geschaftsbanken, unterschieden: 1952 bis 1957 mit reguliertem, langsamem Wachstum, 1958 bis 1974 als Phase eines sttirmischen, explosionsartigen Wachstums, ab 1975 dann Erreichen der Sattigungsgrenze (1.400 Einwohner je Bankstelle) und behutsame Restrukturierung mit -wenn auch zahlenmaBig gering en- BankstellenschlieBungen. Die Frage, ob die Bankstellendichte in den alten Bundeslandern als "overbanked" zu charakterisieren sei, was als Zeichen einer falschen Strategie zu deuten sein wfude, wird inzwischen weithin einvernehmlich bejaht. Zu erwarten ware gewesen, daB die Chance, in den neuen Bundeslandern ein "funktionsfahiges" Standortnetz aufzubauen, die Fehler der Vergangenheit also zu vermeiden, genutzt wfude. Ob die Voraussetzungen dafur in den Rahmenbedingungen vorhanden gewesen sind, wie die Bankgruppen gehandelt haben, welches Ergebnis sich in den zwei Aufbaujahren -1990 bis 1992 -zeigt, dies ist Analysege- genstand der Untersuchung von Sebastian Klein. Ende 1991 war eine erste Untersuchung zu dieser Frage durchgeftihrt worden; die Ergebnisse waren zwar signifikant, die Entwicklung schien aber noch nieht abschlieBend beurteilbar. Auf der Grundlage der statisti- schen Erhebung Ende 1992 dtirfte nun aber die Moglichkeit einer Strate- giebeschreibung und einer -vorsiehtigen -Strategiebewertung gegeben sein. Die Ergebnisse, die Sebastian Klein nunmehr vorlegt, dtirften auf ein breites Interesse stoBen und zum Nachdenken anregen.