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Nun gibt es eine exklusive Sonderausgabe – Fürstenkrone Classic In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit.
»Sie muß verschwinden – und zwar so schnell wie möglich.« Fürstin Torwegge sah mit schmalen, bösen Augen in den sonnigen Schloßpark. »Solange sie im Schloß ist, bin ich nicht die Herrin.« Lydia von Torwegge zog hastig an ihrer Zigarette. Sie trat vom Fenster zurück und ging langsam auf den dreiteiligen Spiegel zu. Sie war wunderschön, die junge Witwe des Fürsten von Torwegge, und sie liebte es, sich im Spiegel zu betrachten. Ihre großen Augen, die eben noch schwarz vor Zorn waren, begannen zu strahlen. Das war der Ausweg, so würde es gehen. Sie zog an der perlenbesetzten Klingelschnur. »Mascha soll sofort zu mir kommen«, befahl die Fürstin dem Zimmermädchen. Dann wandte sich die schöne schwarzhaarige Frau wieder dem Spiegel zu. Die schlanken weißen Finger ihrer gepflegten Hand fuhren spielerisch über die zarte Haut ihrer Wangen und zogen den eleganten Schwung ihrer Augenbrauen nach. Hinter ihr war plötzlich ein leises, huschendes Geräusch. Fürstin Torwegge fuhr herum. »Mascha, du sollst anklopfen. Wie oft muß ich dir das noch sagen!« Die alte Mascha näherte sich mit tief gebeugtem Rücken der jungen Fürstin. »Verzeih, Herrin, ich wollte dich nicht beleidigen.« Die Alte versuchte, der Fürstin die Hand zu küssen, aber mit einer ungeduldigen Bewegung riß Lydia von Torwegge ihren Arm fort.