Cette suite évoque mes pérégrinations buissonnières de la fin des années 1960 à celle des années 1990. Elle dessine les suites de l'adolescence tardive jusqu'à « l'âge d'homme », les fragilités, les timidités et les facondes, ou encore les chemins de traverse.
Les arts plastiques et les terrains sociaux y occupent une large place, accompagnant mon insertion dans le monde professionnel des adultes, en l'occurrence celui, en filigrane puis en point d'orgue, de l'Université et de la recherche en sciences sociales.