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Carmelo Bene (1937-2002) tuvo un papel fundamental en la renovación del teatro. La variación permanente de la voz y la invención de una continuidad entre gesto y palabra, el empleo de la luz, la interiorización de las indicaciones escénicas en la pieza y la dislocación de los arquetipos de poder son, entre otras, sus marcas de fabricación. Todo esto es lo que interesó de su obra a Gilles Deleuze, cuyo pensamiento surcó en profundidad todas las artes, pero que raramente se expresó sobre el teatro, respecto al cual incluso llegó a confesar, alguna vez, cierta distancia. Sin embargo, Deleuze parece encontrar en las obras de Bene las bases para un teatro menor y nuevos sostenes para la crítica, la estética y la política. Una búsqueda paralela a la que había iniciado con Kafka para la literatura. En el Ricardo III (1977) de Bene, perversión deliberada de la obra de Shakespeare, todo el sistema de la realeza desaparece y se conservan solamente los personajes de Ricardo III y las mujeres, quienes para Bene representan a veces lo obsceno, a veces lo incierto, a veces el exceso de deseo en la historia. Pero tambié