Sur les pas d'Odorico à Angers et dans ses environs
De la Maison bleue à l'hôtel d'Anjou en passant par l'ancienne Compagnie française d'aviation, l'École des arts et métiers ou certains commerces angevins, l'originalité des créations du mosaïste Isidore Odorico s'est imposée à Angers.
Implantée à Rennes à la fin du XIXe siècle, l'entreprise Odorico n'a cessé de se développer jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Durant l'entre-deux-guerres, le fils Isidore va développer son talent d'artiste et ouvrir de nombreuses succursales dans l'ouest de la France, dont celle d'Angers en 1932.
Répondant aux désirs de modernisation d'architectes et d'entrepreneurs locaux, Isidore Odorico a laissé, dans la ville et aux alentours, un patrimoine Art déco remarquable et haut en couleur.