Elles et ils ont dit de la poésie de Bernard Perroy :
Serge Wellens : « Limpidité de l'écriture. Chaleur et lumière. Comment nos yeux ne s'éprendraient-ils pas de la simplicité de ce bouquet ? J'aime pour ma part cette transparence et cette entente de la nature avec la « Présence devinée ». Vos vers ont la belle nudité de ceux d'Eluard, de Cadou... »
Jean-Pierre Lemaire :... » Ces poèmes sont un murmure toujours musical, afin qu'aucune discordance ne brise la continuité de l'écoute ; et toujours discret, « riverain du silence « , afin d'y faire entendre l'indicible... » .
Christine Keller : « J'aime vos poèmes, votre parole « d'enfant de haute mer « , celle où vous êtes le plus singulier dans cet arrière-pays des profondeurs d'où montent des mots habités, de très loin... »
Jean Bastaire : « ...un beau cadeau en m'envoyant vos poèmes...ils sont traversés par un « souffle de clarté ». On y respire une attente de la merveille, une confiance d'enfant... »
Hélène Péras : « La musique et l'image se rejoignent d'une façon qui me touche particulièrement. »
Alain Suied : « ... de ces poèmes échangés, de cette écoute précise et vraie, de ce dialogue « voilement-dévoilement »...
Sylvie Reff-Stern : « ... poésie - témoignage que la vôtre, à la fois habitée et humaine. Votre écriture est sincère, limpide, musicale... et toutes ces lignes posées au bord de la lumière... bouleversantes de sincérité... Vous écrivez parce que vous débordez : pas pour faire de l'effet... »
Jacques Gauthier : « ... simplicité et profondeur, grand sens du mystère qui conduit au silence... »
Hélène Cadou : « ... ce fut une manne, un enseignement, une lumière qui tombait soudain sur moi... » « ...vous savez bien qu'une petite lampe peut mettre l'espoir au monde. Merci de ce que vous apportez. »
Charles Le Quintrec : « ... votre recueil qui est un recueil de haute ferveur... Ce qui semble perdu ne l'est jamais quand il suffit d'un regard, d'un bout de prière pour retrouver le meilleur de soi-même. »