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Les lettres que Pierre Falardeau adresse au peintre hollandais Léon Spierenburg parlent en toute franchise de ses films, de ses combats, de ses passions et de ses idées. Ses amours et ses amitiés y occupent aussi une belle place, à l’image de celle que le cinéaste leur accordait dans la vie. Écrites entre 1972 et 2009, ces lettres forment une fresque autobiographique qui n’était pas destinée à être publiée. S’y révèle la genèse d’un être que l’on savait déjà épris d’absolu, de liberté, un être volontaire et capable d’un grand enthousiasme. S’y dévoilent aussi les fêlures et les doutes – ceux-là, Pierre Falardeau ne les a jamais laissés prendre le dessus, réussissant toujours à demeurer impitoyable et généreux. Rédigées initialement en anglais, ces lettres forment un cri d’espoir envers la vie et l’humanité, envers l’engagement malgré tout. Même si cela doit se faire au prix d’une rage permanente et d’une existence incandescente.