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Luba Jurgenson a quitté Moscou à l’âge de 17 ans pour s’installer en France en 1975. Son roman, Une autre vie, pourrait n’être qu’une méditation sur l’exil, si la narratrice ne se proposait de rendre le regard d’une enfant, puis d’une adolescente, sur l’histoire sociale et quotidienne de la Russie (plus particulièrement, Moscou) durant les années soixante et la moitié de la décennie suivante. Un regard dont l’ambition est de dévoiler, dans un monde désaccordé, le son juste. Un regard, aussi, qui s’attache à débusquer la violence qui s’instaure entre les citoyens de cet État totalitaire. Là, l’écriture transfigure l’expérience. La restitution d’une histoire sensible, dans le dialogue que l’adolescente entreprend avec la correspondance d’un oncle mort à Babi Yar, lui permet de comprendre que le moment du départ est aussi insaisissable que le moment de la mort, et la rupture entre les deux mondes aussi impensable que celle entre la vie et l’au-delà.