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Bernard Hœrni est un grand médecin et un humaniste. Le personnage qu’il a créé, Bertrand Schneiter, lui ressemble beaucoup. Il reçoit un jour en consultation Jean-Baptiste Artiguere, un pharmacien atteint d’un cancer, accompagné de sa femme, Isabelle. Au fil de leurs rencontres et des efforts du médecin pour sauver le pharmacien, une sympathie manifeste s’établit entre Schneiter et ce couple exemplaire. Le titre « Une vie mortelle » est un oxymore, traduisant les contrastes permanents entre la vie et la mort, la santé et la maladie, la jeunesse et la vieillesse, la réalité et le rêve. Le Pays basque, dont est originaire le pharmacien, est sans cesse présent, et avec une très grande densité. Ce beau livre est un message de générosité, de lucidité et d’espoir. La vie à l’hôpital est décrite avec précision. Pourtant, beaucoup plus qu’un roman médical, ce récit est aussi, d’une manière plus pathétique encore, une initiation du médecin à sa propre maladie…