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Joachim Heinemann untersucht zunächst die normierten Tatbestandsvoraussetzungen einer verdeckten Sacheinlage nach Inkrafttreten des MoMiG und des ARUG. Die gesetzgeberische Intention, die Rechtsprechungsregeln auf der Tatbestandsseite fortzuschreiben, hindert den Autor nicht, die einzelnen Tatbestandsmerkmale einer intensiven, deduktiven Untersuchung zu unterziehen. Dabei zeigt sich, dass insbesondere das Tatbestandsmerkmal der "Abrede" noch einige ungeklärte Fragen aufwirft. Anschließend beschäftigt sich der Autor mit der Rechtsfolgenseite von verdeckten Sacheinlagen. Einen Schwerpunkt legt er dabei auf die neuartige Anrechnungslösung des Gesetzgebers. Schließlich unterzieht er die Rechtsfigur der verdeckten Sacheinlage auf der Basis der gesetzlichen Legaldefinition einer kritischen Würdigung. Der Autor geht der Frage nach, ob der früher und wegen der schweren Rechtsfolge bewusst enge, allerdings nach wie vor geltende Tatbestand der verdeckten Sacheinlage nicht verfehlt ist, wenn die gesetzgeberisch gewollte Rechtsfolge schließlich nur eine Ausgleichshaftung des Inferenten wegen einer etwaigen Wertdifferenz vorsieht.