Des dernières passes du Kurdistan au terrible désert de
Karakoum impossible à traverser l'été, de Tabriz, Nichapour
ou Téhéran, Bernard Ollivier poursuit sa route. À dos de
chameau d'abord, puis devenu chameau lui-même pour
transporter l'indispensable provision d'eau, il continue, sans
cesse émerveillé, sa marche vers Samarcande et ses coupoles
d'or...