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Von den zwölf Gedichten, die Robert Schumann aus dem 1837 erschienenen Eichendorff-Gedichtband für seinen Liederkreis op. 39 auswählt, bringen fast alle das Bild bewegter Luft oder des durch diese Bewegung erzeugten Klanges - meist in Verbindung mit dem Wort ,rauschen'. Am Beispiel von Texten Macrobius', Novalis', Rousseaus und Herders wird zunächst gezeigt, wie eng das Konzept einer klingenden, wohlgeordneten Welt mit der Diskussion über den Ursprung der Sprache zusammenhängt und daß das Motiv des Rauschens und Singens in der Lyrik Eichendorffs vor diesem Hintergrund ein neues Gewicht erhält. Eichendorff verwendet diese Motive im Kontext der Überwindung geschlossener Räume, der Grenzen des eigenen Körpers. Nachdem dann die Problematik einer beiden Künsten angemessenen Liedanalyse diskutiert und, von Übersetzungstheorien ausgehend, ein neues Modell für die Liedanalyse vorgestellt wird, münden die solchermaßen entwickelten inhaltlichen und formalen Stränge zuletzt in einer Analyse einzelner Lieder des Liederkreises.