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Lorsque Marianne Chaillan annonce à ses élèves le cours de philosophie sur le désir amoureux, tous se dressent et tendent l’oreille. Voici qu’on évoque enfin le sel de la vie ! Que serions-nous sans nos passions ? Romans et poèmes, films et séries, chansons et opéras : tous se nourrissent du désir amoureux. « All you need is love ! » n’est pas seulement le titre d’une chanson légendaire mais une maxime largement partagée. Et, pourtant, les philosophes lui opposent un rejet quasi unanime, la considérant comme une maladie plus dange - reuse que le pire des virus. Illusion, promesse de souffrance, le désir amoureux leur semble faire peser une grave menace sur notre existence. Ils ont beau nous alerter, rien n’y fait. On aime, on veut aimer, on veut vibrer ! Devrions-nous les écouter ? Tomber amoureux, est-ce bel et bien perdre la raison et faudrait-il, dès lors, s’en garder ? Ou bien, à l’inverse, vivre sans cette folie ne serait-il pas si sage ?