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1923 begann der deutsche Rundfunk mit der dramatischen Ankündigung \'Achtung Achtung, Sie hören Tanzmusik\'. Radio bestand nicht etwa aus Wortsendungen, sondern war ein musikbasiertes Medium für Schlager, Tanzmusik, Unterhaltung. Obwohl in den Gründungsmonaten viel von 'Bildung' und 'kulturellem Fortschritt' die Rede war, setzte man auf die prominenten Berliner Tanzorchester und bald auf Stars wie die Comedian Harmonists, Bernhard Etté oder Theo Mackeben.Auch unter den Bedingungen der NS-Diktatur spielte Unterhaltung, allen Bemühungen, den Rundfunk für politische Propagandazwecke zu missbrauchen, eine gewichtige Rolle. Besonders nach der Kriegswende 1942 wuchs der Anteil an Unterhaltungsmusik weiter an, kulminierend im \'Wunschkonzert für die Wehrmacht\', in dem (fast) die gesamte Unterhaltungselite aus Film und Funk auftrat. Während die 1950er und 1960er zwischen elitärem Bildungsanspruch und Schlagerkarrussel pendelten, wurden in den 1970ern wegen sinkender Quoten Autofahrerwellen mit Popmusik nötig. Eine weitere medienpolitische Wende vollzog sich Mitte der 1980er mit Einführung des Dualen Systems. Seither machen Popmusik und Schlager 70% des Programmvolumens aus.