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Woran liegt es, dass Millionen Menschen keinen Job haben? Wollen sie keinen? Fordern sie zu hohe Löhne? Sind sie den Anforderungen des Arbeitsplatzes nicht gewachsen? Ist die Nachfrage nach Gütern zu klein, investieren und produzieren die Unternehmen zu wenig? Oder werden Arbeitskräfte durch moderne Maschinen und Anlagen mit ihrer hohen Produktivität verdrängt? Ist das Phänomen die Folge einer falschen Finanz- und Geldpolitik? Die Arbeitslosen selbst werden geringschätzig behandelt, oft verachtet und als Sozialschmarotzer beschimpft. Klaus Müller setzt sich mit gängigen Erklärungen auseinander, begegnet beliebten Vorurteilen und zeigt, dass die Arbeitslosigkeit eine gewöhnliche Erscheinung des gewöhnlichen Kapitalismus ist. Sie ist ein großes soziales Übel und ein Elend für die Betroffenen. In der Statistik wird ihr Ausmaß verharmlost. Dem Kapital ist sie hochwillkommen, lässt sie sich doch dazu nutzen, Druck auf die Beschäftigten, ihre Arbeitsbedingungen und Löhne auszuüben. Ihre Bekämpfung muss aber nicht aussichtslos sein.