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Der Zweite Weltkrieg schien einen Bogen um die Universitätsstadt Göttingen zu machen. Bombenangriffe gab es kaum, erst in den letzten Kriegsmonaten kam es zu ernsten Schäden. Und doch hatten viele Kinder, die in den frühen 40er-Jahren in der beschaulichen Fachwerkstadt aufwuchsen, eines gemeinsam: Sie erlebten eine Kindheit ohne ihre Väter.Die idyllische Stadt an der Leine hat ihr ganz eigenes Gepräge: Kulturleben und Universität spielten in den 40er- und 50er-Jahren eine große Rolle, aber es gab auch Kneipen, Milchbars und Tanzcafés, wo sich die jungen Göttinger trafen. Und am Wochenende ging es entweder zum Kaiser-Wilhelm-Park oder in den Hainberg, eine der vielen Waldungen rund um Göttingen.Alle zieht es nach Göttingen, und wer einmal hier war, möchte nicht mehr weg!