« De Shakespeare, le théâtre de Peter Brook est indissociable. Il l'a mis en scène et commenté tout au long de sa vie et il y a fait constamment retour. Si l'on paraphrasait le goût brookien pour les métaphores du vivant, il va de soi que ce fut son "engrais" privilégié. Brook s'est nourri de Shakespeare. Comme de la vie.
Brook les a rapprochés, écoutés et explorés avec une égale attention.
Il ne s'en ait jamais détaché. Ces textes tardifs publiés ici le confirment : le lien de jadis persiste, le dialogue se poursuit et le voyage continue. »
Georges Banu
(extrait de la préface)