« La vie d’écrivain est parfois bien cruelle. Vous baissez le nez à peine quelques minutes pour cramponner papier et stylo et noter une idée géniale avant qu’elle ne s’envole. Quand vous relevez la tête, votre femme et vos enfants vous ont quitté.
Et la voiture est bonne pour la casse. »
Une bonne nouvelle n’arrive jamais seule. Une micronouvelle non plus. Et lorsque ce n’est pas une, ni deux ni trois, mais cent micronouvelles qui tombent en pluie fine sur le papier, caustiques, comiques ou corrosives, inutile de courir se mettre à l’abri, nul ne passera entre les gouttes.