Chacun des trois chapitres des Contes de la Mansarde se déroule dans le même appartement, au dernier étage d'un immeuble parisien, durant trois étés caniculaires. Si l'effroi apparaît par des manifestations du surnaturel, il se dissimule aussi dans les recoins de nos névroses modernes : dépression, solitude, obsession ou anxiété. Elizabeth Holleville et Iris Pouy évoquent les lectures de leur enfance, les contes de Perrault et de Marcel Aymé, les films de genres, autant que les bandes dessinées américaines de chez EC Comics.