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Siguiendo las líneas de relación que van del dreck a las constelaciones (y viceversa), la poética de José Kozer se sitúa, muy a menudo, en un doble sendero: en ella se verifica, libro a libro, tanto el trayecto del residuo a la reliquia como el que va en sentido contrario. Se trata, en todo caso, más que de una apuesta que reivindica una suerte de «salvación a través de los residuos», de una apuesta ética (y religiosa) un poco más radical. Y es que, siguiendo los vaivenes entre disgregación y multiplicidad, y entregado a una intensificación sensorial casi mística («entre los pinos/ rodenos quizás /escuchando la/ circulación de/ la resina»), el poeta registra las capilarizadas geografías de su propia lengua, al tiempo que da cuenta de las intermitentes superposiciones y convergencias entre deshacimiento e identidad («Yo ya no soy yo llegué a casa»); convergencias en las que se afirman, en su cotidiano esplendor, la vida y la muerte que hay en las palabras.Michel Mendoza