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Zola will mit seinem Roman, in dem alle Hauptpersonen zu Mördern werden, nicht das Verbrechen verherrlichen. Das erleichterte Aufatmen Jacques nach der Ermordung Séverines ist nicht die zynisch amoralische Selbstbefriedigung Gidescher Helden im acte gratuit. Bei klarem Verstand konnte Jacques keinen Mord begehen oder auch nur planen. Sein Liebesverhältnis mit Séverine zerbricht letztlich an diesem "Versagen". Und als Séverine ihm ihren Plan, Roubaud zu töten, schließlich doch aufzwingt, als sie ihn mit allen Mitteln zum Verbrechen treibt, wird sie nach dem ewigen Gesetz von Schuld und Sühne selbst das Opfer. Die blindwütend durchbrechende ererbte Mordlust Jacques, erfüllt gleichsam die elementarsten Forderungen der Gerechtigkeit. Séverine, deren Jugendsünde Roubaud aus Eifersucht zum Mörder werden ließ, die um ihres eigenen Glücks willen Jacques das Mordmesser in die Hand drückt, hat ihr Leben verwirkt. Aber für Jacques bringt diese Tat, die er im Blutrausch (im doppelten Sinne des Wortes) begeht und wie einen Rausch vergisst, nicht die erhoffte Heilung. Gierig steigt das Tier von neuem in ihm hoch im nächtlichen Beisammensein mit Philomène am Bahndamm. Die Mordlust steckt ihm im Blut seit grauer Vorzeit und verlangt immer wieder nach Blut, und vor diesem Verlangen gibt es kein Entrinnen mehr. Jacques Leben hat seinen menschlichen Sinn verloren. Wenn er dem Zugriff Pecqueux zum Opfer fällt, so erfüllt sich an ihm nur erneut das dunkle Gesetz.