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Dat Henk van der Waal in bijna al zijn gedichten iets onmogelijks probeert, zal wel komen doordat hij een jaartje filosofie in Frankrijk heeft gestudeerd. In zijn debuutbundel, De windsels van de sfinx, moest de grens tussen leven en dood het ontgelden. In Schuldsanering wilde hij zich ontdoen van de last van de geschiedenis. In zijn nieuwe bundel, De aantochtster, is het weer raak.
Het begint al met de titel, want wie is dat, die aantochtster? In ieder geval iets of iemand die veel namen draagt. In het ene gedicht heet ze onthutsster, in een volgend orakeldelfster.
Leuk, maar dat geeft nog geen antwoord op de vraag wie of wat die aantochtster is. Om een concrete vrouw lijkt het niet te gaan: veel vlees en bloed komt er bij haar niet aan te pas.
Is ze dan toebrengster van vrouwelijkheid?
Dat is een aardige poging.
Dus eigenlijk iemand op wie in deze tijd niet met goed fatsoen te hopen is?