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De acceptatie van euthanasie bij allerlei nare lichamelijke ziekten is enorm toegenomen. In De weg kwijt legt Boudewijn Chabot de schaduwkant hiervan onder een vergrootglas. 25 jaar geleden stond Chabot al voor de rechtbank pal voor zelfbeschikking over het levenseinde. Maar nu euthanasie ook bij dementie en psychiatrie snel toeneemt, roept hij op tot bezinning. Deze kwetsbare patiënten krijgen onvoldoende zorg en behandeling, waardoor hun angst voor het leven en het verlangen naar de dood toenemen. Hun hersenziekten tasten het vermogen aan om zelfstandig te beslissen. Ze horen dat euthanasie bij ongeneeslijke lichamelijke ziekten een oplossing kan zijn, en dat ook zíj om euthanasie kunnen vragen bij de levenseindekliniek. Hoogleraar Anne-Mei The valt Chabot bij en demonstreert in haar Proeftuin Dementie hoe je anders kunt omgaan met de angst voor dementie. Hoogleraar Jim van Os legt uit hoe het komt dat psychiatrische behandeling geen hoop meer biedt aan mensen die worstelen met de dood.