Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
While scholars and critics generally agree that the 1960s signaled the end of high modernism, what is less clear is how to characterize contemporary art since the 1960s. Acclaimed art scholar Jonathan Harris here tackles this question by assembling a rich body of essays, along with an extended interview with renowned feminist art scholar Amelia Jones, that tracks the movements in and issues central to contemporary art practice since this pivotal decade. The contributors to Dead History, Live Art? argue that visual art since the 1960s can no longer claim a separate and exalted status; rather, it should be interpreted as an integral part of a larger culture of display, consumption, and power that continues to evolve within a global capitalist system. Distinguished writers and artists such as Frazer Ward, Anna Dezeuze, Richard Layzell, and Jane Chin Davidson launch a new discussion on art and mass culture in their essays, with uncompromising examinations of how, in the context of modern capitalism, visual culture has radically redefined the relationships between the production and use of images, texts, and interpretive analysis. Issues explored in their essays include the rise of "performance art" in the 1960s and 1970s, the focus on diverse installation and mixed-media practices during the 1980s and 1990s, and, in an investigation reaching into the political sphere, the theater of visuality and spectacle created to support the invasion of and war in Iraq in 2003. Dead History, Live Art? proposes an intriguing new perspective on art history and art practice with its critical and uncompromising examination of their conventions, values, and institutions. As such, the volume reconfigures not only our understanding of contemporary art, but also the entire concept of the avant-garde.