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In der hier vorgelegten Studie geht es um die Frage nach der literarischen Verhaltnisbestimmung zwischen dem ersten Petrusbrief und den johanneischen Schriften, d.h. dem Johannesevangelium, den drei Johannesbriefen und der Johannesoffenbarung. Die Untersuchung dieser Frage wird ermoglicht durch den Sachverhalt, dass zwischen jenem und jenen eine lokale sowohl als auch eine zeitliche Koinzidenz auszumachen sind: Beide richten sich - zumindest auch - an Christen in der romischen Provinz Asia, beide sind um die Wende vom ersten zum zweiten nachchristlichen Jahrhundert verfasst. Die traditionsgeschichtliche Analyse solcher Texte und Motive, die einen Widerhall sowohl im ersten Petrusbrief als auch in den johanneischen Schriften finden, lasst in den allermeisten Fallen die Annahme wahrscheinlich erscheinen, dass der Verfasser des 1Petr (proto-)johanneische Traditionen verarbeitet, entweder, indem er in seiner Darstellung einzelne Lexeme oder Motive im Rahmen einer Re- bzw. Neukontextualisierung explizit aufgreift, oder aber, indem er johanneische theologische Inhalte als Paraphrase, somit also implizit verarbeitet. Diese Verarbeitung (proto-)johanneischen Traditionsmaterials dient dem Zweck, die romisch-'petrinische' Einflusssphare auch auf kleinasiatische Gemeinden auszudehnen und Rom als das eigentliche Zentrum des fruhen Christentums zu installieren.