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»Kulturkrise« war ein Zauberwort der Jahrhundertwende. In ihm verdichtete sich um 1900 ein komplexes Zusammenspiel von Befunden über die Gesellschaft. Das Phantasma der »Verweiblichung« der Kultur deutet nicht nur auf einen Paradigmenwechsel der Geschlechterdifferenz hin, sondern es beschreibt auch die Genealogie einer Gesellschaft, die ihre Einheit über den Körper stiftet: Der Körper interveniert in die heterogenen Diskurse und ist, vermessen und kartographiert, als Geschlechts-, »Rasse«-, Kultur- und Gesellschaftskörper konstitutiv für soziale Ordnung. Eingebunden in die Sorge um das Leben des einzelnen und der Bevölkerung, in Fragen von Fortpflanzung und Vererbung, wird Geschlecht zum organisierenden Prinzip von Kultur und Gesellschaft. Die Autorinnen verdeutlichen in der diskursanalytischen Rekonstruktion geschlechtliche »rassische« und kulturelle Subjektivierungsweisen als Machtwirkungen einer diskursiven Ordnung, die in Praktiken der Auslese des arbeitenden, lebenden und liebenden Menschen münden.