De A comme " Adjani " ou " Audiard chez les orques " (De Rouille et d'os) à W comme la saga Warner", Éric Neuhoff a mis en ordre alphabétique sa passion du 7e art, bien connue des lecteurs du Figaro, des auditeurs du " Masque et la Plume " et des téléspectateurs du " Cercle " sur Canal Plus.Pour Neuhoff, le cinéma c'est " la vie en 24 images-seconde " avec ses plaisirs, ses émotions et ses déceptions. A chaque page, il laisse libre court à ses enchantements, ses envies de rire aux éclats et bien sûr ses énervements, griffant les fausses valeurs en quelques formules tranchantes. Car Neuhoff a ses têtes de turc : François Ozon, Garrel père et fils, les frères Dardenne ou les derniers films de Chatiliez... Mais Neuhoff a également la passion des actrices, ces héroïnes des " écrans noirs de nos nuits blanches ". Son dictionnaire les salue d'une plume câline, qu'il s'agisse de l'exquise Robin Wright, de BB dans Le Mépris, de Tilda Swinton ou de l'espiègle Milla Jovovich.Au fil des 300 entrées de son "Dictionnaire chic du cinéma", Neuhoff flâne avec style : Altman, Bory, Cluzet, Delon, Haneke, Kazan, OSS 117, la prétendue " Qualité française ", Taxi Driver, Truffaut, le cinéma selon Houellebecq (" Extension du domaine du nanar "), mais aussi la liste des 100 meilleurs films, une comparaison des mérites de la VO et de la VF, ou la critique d'Almodovár par Alfred Hitchcock !"