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Im Rahmen des 'Militärischen Kunstschutzes' arbeiteten deutsche Kunsthistoriker im Zweiten Weltkrieg in mehreren besetzten Ländern, ab Herbst 1943 auch in Italien. Zu ihren Aufgaben zählten u.a. die Erfassung schützenswerter Bauwerke sowie die Unterstützung italienischer Museen und Denkmalpfleger. Das Buch dokumentiert und kontextualisiert diese Aktivitäten und fragt vor allem nach den individuellen Entscheidungs- und Gestaltungsspielräumen im Spannungsfeld von Fachwissenschaft, Politik und Kriegsgeschehen. Im Zentrum der Analyse steht das Verhältnis von Kunstgeschichte, Kulturpolitik, Kulturgutschutz und Propaganda vor, während und nach dem Zweiten Weltkrieg. Forschungen zu Motiven und Intentionen der Kunsthistoriker mit Fragen der Institutions- und Organisationsgeschichte verschränkend, plädiert der Autor zugleich für ein ›ganzheitliches‹ Verständnis von Wissenschaftsgeschichte. Dieser Band eröffnet eine neue Reihe, in der künftig Bände zu unterschiedlichen Aspekten und Bereichen des Wissenschafts- und Kunstbetriebs im Nationalsozialismus erscheinen werden: etwa den Akteuren und ihren Handlungsspielräumen, dem Ausstellungswesen, den Institutionen, den Forschungsagenden und den Diskursen in Kulturpolitik, Kunstkritik und Kunstgeschichte.