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Im September 2020 brennt auf der griechischen Insel Lesbos Moria nieder, das größte Flüchtlingslager Europas. Wenige Wochen nach dem Brand fliegt der Schriftsteller Anselm Oelze nach Lesbos, um sich ein Bild von der Lage zu machen. Er erlebt eine Insel, auf der der Ausnahmezustand zur Regel geworden ist, und fragt, wie es dazu kommen konnte. Er erlangt Zutritt zu dem in Windeseile errichteten neuen Camp Kara Tepe und kann mit Menschen sprechen, die dort leben müssen. Außerdem verfolgt er die Arbeit der Medien und blickt hinter die Kulissen der Hilfsorganisationen. Doch er denkt auch über seine Rolle als Beobachter und die eigene Wahrnehmung des Geschehens nach. Und so ist der Bericht seiner Reise nicht nur eine eindringliche literarische Reportage, sondern vor allem eine hellsichtige Reflexion über lieb gewordene Selbstverständlichkeiten, über die eigene Verantwortung, die Macht der Grenzen und die Zufälligkeit des Glücks.