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Gelesen wird Hermann Bahr heute wohl kaum noch, obwohl zum Beispiel sein Roman "Die gute Schule" von 1890, durchaus noch lesbar ist - zumindest ist an diesem Werk, das im Untertitel bezeichnenderweise "Seelenstände" heißt, sehr klar abzulesen, was ein Roman vor hundert Jahren aufzubieten hatte, wenn er das werden wollte, was "Die gute Schule" wurde: Eine kleine, literarische Sensation und auch ein wenig ein Skandal. Aufgeboten werden hier nämlich erstens die Problematik des Künstlers als gesellschaftlicher Außenseiter, zweitens eine recht grobe beziehungsweise populäre Psychologie, die irgendwo zwischen Nietzsche und Freud angesiedelt ist, drittens eine gehörige Portion Zynismus, dazu antibürgerliche Affekte im Dutzend und letztens und vor allem exzessiv: Sex. Genauer gesagt: Sadomasochismus. Derart "perverse Wollust", wie das damals hieß, mag auf die Zeitgenossen Bahrs provozierend gewirkt haben - heute wirkt das eher unfreiwillig komisch. Ein Beispiel: "Die Kleider herunter, in Fetzen, bog sie über, und mit seiner Hundepeitsche. Er wollte sie ganz verwüsten und entfleischen, bis gar keine Spur mehr übrig und er befreit wäre. Sonst wußte er nichts, als nur diese unnachgiebige Begierde, dass er nicht früher aufhören könnte. Nur Blut, Blut. Da wurde ihm erst gut, wie es herunter striemte. Da zwang er sie dann zur Liebe und züchtigte sie mit Küssen, während sie stieß, speichelte und fletschte. Bis ihnen die Sinne vergingen, wie in den Tod hinein." Mit Illustrationen von Alfred Haslinger.