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Eine Endlichkeits-Clowneske lautet das Stück im Untertitel, weshalb neben roten Nasen auch Schrumpfköpfe eine Rolle darin spielen. Ein solchen bringt Julian nach langer Abwesenheit seinem Vater Richard als Geschenk mit, um dessen Memento-mori-Sammlung, bestehend aus blinkenden Totenschädeln, Sanduhren und ausgestopften Tieren, zu vervollständigen. Mag Richards Interieur noch unverändert sei, die Hausgemeinschaft ist es nicht: Während Bader und Meinhof, die zurück gelassenen Zebrafinken, verstorben und im Kühlschrank konserviert sind, begegnet der Sohn neuen Mitbewohner, die ihm unbekannt und auf morbide Art lebendig sind. Bis auf den alten Freund Valentin, der zum Dichter mutierte ("Guten Tag. Ich schreibe gerade einen Roman über mein Liebesleben. Möchten Sie drin vorkommen?"), lebt sein Vater mit neuen Menschen unter einem Dach: Da ist Ines, die neue Lebensgefährtin, die im Hospiz sterbende Kinder im Clownskostüm heimsucht, Fleur, deren Mund eine Katastrophengeschichte nach der anderen entweicht, und Marcel, der beim Film ein viel gefragter Toten-Darsteller ist. Und was ist mit Vanessa, Julians Freundin, derentwegen er nach Venezuela ging, um darüber nachzudenken, ob er sie wirkliche liebe? Ein Anruf mit dem Büchsentelefon verschafft ihm Klarheit: Sie ist inzwischen Ehefrau und Mutter geworden. Dafür, dass in dieser Endlichkeit-Clowneske bei aller Todessymbolik weder physischer, noch mentaler Stillstand herrscht, sorgen Dialoge, die mit der gewohnten Schärfe und Kricheldorfschen Ironie eine Gesellschaft sezieren, die sich jeden Tag die Frage nach einem richtigen Leben stellt. Und – wie im richtigen Leben – macht auch hier der Letzte das Licht aus.