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Von einer Dichterverschwörung sprach der Humanist Juan Luis de la Cerda (17. Jh.) in seiner Poetik, als er die Umsetzung des Seuchenmotivs durch lateinische Dichter verglich - es sei doch sonderbar, dass so viele von ihnen sich dieses Motivs annahmen, um ihr Können unter Beweis zu stellen. In der Tat zieht sich das Motiv in bemerkenswerter Kontinuität vom ersten vor- bis ins erste nachchristliche Jahrhundert. Es bildet damit ein außergewöhnliches Beispiel für das Aemulationsprinzip antiker Poesie. Darüber hinaus sind die Beschreibungen ein Spiegel zeitgenössischer Vorstellungen von Krankheit und Medizin, sodass sie auch einen geeigneten Forschungsgegenstand für die Medizingeschichte darstellen.Fabian Neuwahl versammelt erstmalig die gesamte lateinische Motivtradition und bietet eine kommentierte Übersetzung, die sich den Seuchenbeschreibungen sowohl aus philologischer als auch medizinhistorischer Perspektive nähert.