Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Mikael Vogel spürt in seinen Gedichten Fallgeschichten und Singularitäten nach, legt mit seiner Sprache vergessene Wissensbestände frei. Nach Morphine und Massenhaft Tiere widmet er sich in Dodos auf der Flucht ausgestorbenen Arten: Ein Requiem für ein verlorenes Bestiarium.Vogel nähert sich den Arten mit dem empathischen Blick eines Naturforschers und bewahrt damit nicht nur Namen, sondern zugleich die Persönlichkeit, die Stimme und das Federkleid jedes Tiers. Die akribisch recherchierten Gedichte falten den sprachlichen Naturkosmos ihrer Protagonisten auf: Pflanzen, Nahrung, Gewohnheit, Habitat. Eingebettet in die Fallgeschichten des letzten Vertreters einer Art dokumentiert Vogel als Kontrapunkt den Aufstieg des Menschen. So spinnt er ein Netz aus Naturbeobachtung und Kapitalismus-, Kolonial- und Machtgeschichte - ein Spiel mit der Form von Lexikoneinträgen, das diese an Eleganz und Dichte weit übertrifft. So entsteht ein Wissen, das die ausgestorbenen Tiere nicht als Objekt begreift, sondern lebendig macht. Die Gedichte sind Monumente, die vor dem Vergessen bewahren.