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Lors de la guerre 1939-1945, le gouvernement américain ne reconnaissait pas la “France Libre”, mais Vichy. Après le débarquement des Alliés en Afrique du Nord, c’est la France d’Alger, celle de Darlan et Giraud, que les Etats-Unis agréèrent. A New York, des marins français, débarqués de bateaux d’Alger pour s’engager chez les Français libres, furent arrêtés. Pourtant, ce sont les Free Frenchs que chouchoutait la population américaine. Les marins dunkerquois du Cap des Palmes (sur cette photo au monument de Jeanne d’Arc à San Francisco, avec leur commandant, le futur amiral Cabanier) furent fêtés sur la scène d’un cabaret de Hollywood ! Des Dunkerquois, il y en avait à New York, à Alger et à Londres, mais aussi aux quatre coins de la France et du monde (réfugiés, évacués d’office, P.G., déportés, S.T.O., soldats, marins). Il s’en trouvait aux heures cruciales à Mers el-Kébir, à Dakar, en Syrie (même parmi les Tcherkesses !), en Afrique du Nord, à Toulon lors du sabordage de la Flotte, aux Antilles, en Corse et aux débarquements de Normandie et de Provence, comme le rapporte Serge Blanckaert dans ce récit qui fait place aussi aux aventures de marins engagés sous de faux noms dans la Royal Navy, de P.G. en fuite, de résistants opérationnels jusque dans les camps de concentration.