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El circo del desaliento es la primera novela gráfica reflejo de una sólida trayectoria ya como dibujante de David Rubín, punta de lanza de una nueva hornada de creadores gallegos. Con prólogo y epílogo de Miguelanxo Prado y Carlos Portela, respectivamente, abre el volumen "Donde nadie puede llegar", una intensa historia larga e inédita, que tiene continuación en una serie de relatos cortos realizados para la ocasión, junto con otros ya prepublicados en distintas revistas. Rubín se apoya en el personaje del superhéroe para desarrollar unas historias que beben de sus preocupaciones y de sus personales experiencias, donde está muy presente la poética del perdedor tamizada en ocasiones por cierto optimismo vital que deja algún hueco a la esperanza. "Rubín maneja acertadamente los cambios de velocidad de la narración, sabe pausarla cuando no tiene sentido que sea trepidante, y sabe acelerarla cuando es necesario. Y sabe hacer callar a los personajes y dejarnos oír lo que no está escrito, como los estados de ánimo o el agua de una bañera marchando por el desagüe, sin necesidad de utilizar una onomatopeya". Miguelanxo Prado