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Das Poldi-Erbrochene ist im Moment das kleinste Problem. Fanni krallt sich an den Stamm, man weiß nicht, wie stark der Schirm sich verkeilt hat. Oder ob der Stoff reißt. Ist der reißfest, der Stoff? Jeden Mittwoch Frauenstammtisch, Blattsalat mit Zanderstreifen in Cornflakespanier, Grappa auf's Haus. Die Pizzeria zwischen Fleischhacker und Bestatter. Links ein tönernes Schwein im Schaufenster, Rauchwurst und Salami, ein Plastikschinken auf einem Teller mit karierten Servietten. Rechts der beleuchtete Kasten mit den Partezetteln, Seidenblumen, eine goldene Urne auf einem weißen Sockel. Im Ort wächst der Leerstand, verstauben die Auslagen. Wiederholen sich ewig gleiche Routinen bis an den Rand des Ertragbaren. "Ich habe Krebs", lügt Fanni. "Hat schon gestreut." Harzduft. Grüner Nadelduft. Ein abgebrochener Ast, ein Stummel, so lang wie eine Hand breit, knapp vor Fannis Brust. Tupft sie an. Die Lüge führt zu weiteren Lügen, zu Wahrheiten und zum tatsächlichen Absturz: Ein Tandemflug endet in einem Tannenwipfel, Poldi und Fanni müssen auf Hilfe warten. Absurd, findet Fanni. Aber auch nicht absurder als ihr bisheriges Leben. "Brangelina, verstehst?" "Was?" Poldi entlastet vorsichtig den linken Fuß, nur eine Spur, um die Zehen zu bewegen. "Angelina Jolie und Brad Pitt. Wären wir berühmt, weißt, wie wir heißen würden?" "Wie?" Poldi spürt Fannis Herz pochen unter seiner Hand. "FanniPold", sagt sie.