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In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit. "Fürstenkrone" ist vom heutigen Romanmarkt nicht mehr wegzudenken.
Mit strahlenden Augen und heiter gelöster Miene eilte Britta von Tongau über den langen weißgetünchten Gang, flog fast in die Arme des jungen Arztes. »Geschafft, Rüdiger! Ich habe mein Staatsexamen in der Tasche!« Noch atemlos, überglücklich und in Eile, umschlang die junge Baroneß ihren Verlobten mit beiden Armen, küßte ihn verstohlen auf die Wange. Lächelnd drückte Dr. Rüdiger von Hettling die schlanke Gestalt flüchtig an sich. »Gratuliere, Britta! Doch eigentlich habe ich keinen Augenblick daran gezweifelt, daß du es beim ersten Anlauf schaffst.« Abwehrend hob Britta die rechte Hand, wedelte leicht damit in der Luft und meinte: »Nana! So einfach war das aber nicht. Doch paß auf, Rüdiger, das Beste kommt erst noch.« Triumphierend hob Britta ihre kleine eigenwillige Nase und verkündete stolz: »Die frisch examinierte Lehrerin hat bereits eine Anstellung in der Tasche. Sogar eine ausgesprochen interessante.« Nun blickte der junge Arzt, der in einer großen Hamburger Klinik tätig war, seiner Verlobten überrascht in die rehbraunen lustigen Augen. »Alle Achtung, Britta! Davon hast du ja kein Wort erzählt. An welcher Schule bist du denn angestellt …?« Doch abwehrend hob Britta von Tongau die Hände, hakte sich bei Rüdiger unter, zog ihn langsam mit sich zum Ende des Ganges. »Schule! Keine Schule, mein Lieber.